Portrait de Marc Le Fur
Avec Vous, en confiance
Assemblée Nationale Conseil Régionale de Bretagne Marc Le Fur
Marc Le Fur, Député des Côtes d'Armor, Consieller Régional de Bretagne
Avec Vous, en confiance
 

UMP : Marc Le Fur nommé Secrétaire National aux Langues régionales

Le 16 février 2011

L’UMP vient de dévoiler la liste de ses secrétaires nationaux ce mercredi 16 février 2011. Parmi ceux-ci figure le Député breton Marc LE FUR nommé Secrétaire
national aux Langues Régionales. Le Député breton avait obtenu en 2008 la reconnaissance des langues régionales dans la Constitution. « Pour la première fois, un grand parti politique décide de prendre à bras le corps la question des langues régionales en France. C’est un signal très fort
pour le combat que mènent les très nombreux locuteurs catalans, basques, occitans, provençaux, alsaciens, corses et bretons »
se réjouit Marc LE FUR. « L’inscription des langues régionales dans la Constitution était une première étape. Nous avons encore beaucoup
d’étapes à franchir. Cette nouvelle fonction me permettra de redoubler d’effort au service des langues régionales. »
conclut le nouveau Secrétaire national aux langues
régionales.

8 commentaires pour “UMP : Marc Le Fur nommé Secrétaire National aux Langues régionales”

  • Vraiment n’importe quoi !

    C’est terriblement rétrograde, on s’attendait à ça du côté de soixante-huitards à la dérive, mais pas à l’UMP ! A quand le secrétariat à la langue arabe ?

    Contre les diviseurs, faisons bloc ! Unité !

  • Bravo !

     

    Pour une surprise, c’est une surprise ! Et effectivement, à ma connaissance, une première historique.

     

    J’espère que vous ferez un bon boulot.

  • Il est grand temps que l’UMP se saisisse officiellement du sujet. Laisser la gauche en apparaître le champion en Bretagne coûte à la droite les 2% qui peuvent faire la différence. Bravo
    Marc! 

  • Toutes nos félicitaions, Cher Marc,

    Les langues minoritaires sont bien vivantes. Il suffit pour s’en convaincre de voyager en Europe. Je note par exemple, la vigueur du luxembourgeois (Lëtzebuergesch en luxembourgeois), la langue nationale du Luxembourg qui, avec le français et l’allemand, est la troisième langue officielle du Grand Duché.

    Partout en Europe, il y a des expériences pour favoriser la transmission des langues dites minoritaires, langues que l’on dit parfois éteintes. Mais rien n’est définitivement écrit. On relève une
    forte dynamique un peu partout en Europe, mais il y a encore beaucoup de travail à accomplir pour que les langues dites minoritaires soient reconnues.

    Attention, vivre le respect des identités profondes et défendre les langues régionales et minoritaires, cela ne doit entamer en rien l’idée de l’Europe. Cela se fera en Europe, par l’Europe, pour
    les Européens. Cela se fera au quotidien, à Bruxelles, à Strasbourg, à Luxembourg et non à Paris.  Comme le traité de Lisbonne n’a donné à l’Europe qu’une compétence de coordination de
    l’action des états-membres en matière de culture et d’éducation, cela se fera par un travail de lobbying long et patient auprès des instances européennes.

    Une langue régionale ne met pas la République en danger, mais la France jacobine, en s’arcboutant sur le concept état=nation=république, a choisi une forme d’unité nationale qui ne lui permet
    pas, tout simplement, de ratifier la charte européenne des langues régionales.

    C’est une question trop difficile à poser en France où elle est parfois assimilée à une sorte de tabou.
    En France, il y a ceux qui pensent que l’unification de la langue (Villers-Cotterêts en 1539) a contribué à l’unification de la nation. Il y a ceux qui disent que les divisions de certains états
    commencent toujours par la revendication de la langue. Et surtout il y a ceux qui veulent maintenir très haut le niveau de jacobinisme en utilisant tout ce qu’ils peuvent trouver à leur portée
    pour sauver les meubles: débat sur l’unité nationale, immigration, langues régionales et minoritaires.

    Krog e barz, Mark !

    Pour Breizh 2004

    Le Président

    Claude GUILLEMAIN 

     

    44, rue Léon Durocher

    22730 TREGASTEL

    breizh.2004@ gmail.com

    http://www.breizh- 2004.org


    Fondé en 2004, BREIZH 2004 a pour mission de soutenir et de diffuser des recherches et des textes
    d’opinion sur des sujets touchant le développement de la Bretagne en Europe. Lieu d’échanges, de concertation et de débats entre les groupes et les individus qui réfléchissent et agissent pour
    construire BREIZH, BREIZH 2004 se situe au carrefour de l’observation et de l’action. Il a pour but de susciter la réflexion sur les enjeux d’actualité qui concernent la Bretagne et l’Europe.
    BREIZH 2004 défend le concept de fédéralisme intégral, de fédéralisme fiscal et de localisme dans le cadre des institutions et dans le cadre de la société
    .

  • Bravo mon cher Marc,

    Je vous félicite d’avoir été reconnu pour votre engagement opiniâtre dans la défense des langues régionales et pour leur reconnaissance dans le patrimoine culturel de la France, j’en suis heureux
    et m’empresse de vous applaudir des deux mains (Comment faire autrement ?…)

    Très cordialement à vous,

    Roger de Plémet

  • Bonjour Emmanuel . Un peu plus d’ouverture d’esprit . Le jacobinisme n’a jamais apporté que de la rencoeur .Je suis prêt à en parler avec vous . Un ancien de de 1968.

  • La plus belle nouvelle pour la Bretagne ces jours-ci .Merci pour tout le travail que vous avez dèjà fait et que vous allez encore faire dans les mois à venir pour notre langue régionale .Bien
    amicalement .Françoise Louarn

  • Député de haute-bretagne vous vous impliquez dans des choses qui ne concernent pas vos électeurs. Vous voulez nous imposer le bretons et creusez des fossés entre nous.