« C’est dans un esprit républicain que j’ai répondu à l’invitation de Président HOLLANDE et que j’ai assisté à son investiture » déclare Marc LE FUR, Vice-président de l’Assemblée nationale. « J’ai noté la dignité avec laquelle le Président SARKOZY a quitté l’Elysée mais également l’appel au Rassemblement du nouveau Président de la République dans la période de crise que nous allons continuer à traverser. » poursuit Marc LE FUR. « Je remarque aussi que pour rassembler il faut être divers. C’est cette diversité et ce pluralisme à l’Assemblée nationale qui devra permettre à notre pays de mieux lutter contre la crise et pour les intérêts de la France. » conclut Marc LE FUR.
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Je souhaiterais qu’on juge le nouveau président de la république française non sur ses intentions déclarées mais sur ses actes. J’ai des doutes sur ses déclarations de neutralité, et constate
qu’il pratique déjà le favoritisme dans ses décisions: Ayrault premier ministre et la kyrielle de ministres socialistes ne laissent augurer rien de bon. Le népotisme pointe le bout de son nez. Il
affirmera, sans doute, le retour en force de la toute puissante administration française et encouragera le zèle laïcard des mercenaires de la république.
La question du cumul des mandats reste posée. Ayrault député maire de Nantes, hostile à la réunification de la Bretagne sera-t-il assez courageux pour renoncer à l’un quelconque de ses mandats?
C’est la polémique continuelle, dans de nombreux pays dits démocratiques, entre ceux qui dénoncent le principe du cumaul des mandats, et ceux qui, faute de le défendre, n’y voient pas
d’inconvénient. La France, malgré les multiples remous suscités par cette question épineuse, où des personnes pouvaient être à la fois au gouvernement et élues au niveau local, etc., jusqu’à
cumuler, parfois, quatre mandats, connaît encore des problèmes de cet ordre. République ou foire d’empoigne?
La question particulière du cumul de mandat de président de parti politique et de ministre s’était posée en 2004, sous la présidence de Jacques Chirac. Ce dernier, lors de son discours
traditionnel du 14 juillet, s’était clairement opposé à ce type de cumul. Nicolas Sarkozy, élu à la tête de l’UMP, avait alors été contraint de quitter son poste de ministre. Cependant, suite à
un remaniement ministériel, et Jacques Chirac ayant, semble-t-il, cédé aux pressions exercées par l’opinion publique, Nicolas Sarkozy marquera son retour au gouvernement, tout en étant chef de
l’UMP.
Que feront les Ayrault, Aubry, et consorts?
qui devra
NON !
qui devront