Lamballe : Vernissage de Regards sur les arts

22 septembre 2005 : Visite de Renaud DONNEDIEU de VABRES

Marc LE FUR répond à trois questions du « Penthièvre »

Marc LE FUR a invité Renaud de DONNEDIEU de VABRES à LAMBALLE à l’occasion du vernissage de la 15ème exposition « Regard sur les arts ».

1-       Est-ce la première fois que vous sollicitez le ministre de la Culture pour l’exposition Regards sur les Arts ?

Ce n’est pas la première fois. « Regards sur les arts » est déjà, depuis quelques années, une manifestation qui attire l’attention du Ministre de la Culture. A ma demande, il lui a déjà accordé son parrainage l’an dernier. Mais l’occasion d’une visite ne s’était pas présentée dans l’agenda du Ministre. Elle se présente cette année et je m’en réjouis.

2-       Quels ont été vos arguments pour le décider ?

Les arguments ne manquent pas. Le premier argument est sans doute la très grande qualité de cette manifestation, la qualité des œuvres présentées, la qualité des invités qui révèle chaque année l’influence grandissante de « Regard sur les arts ». Le second argument est celui des arts figuratifs. Il est bon de les mettre également en valeur surtout qu’on bénéficie des compétences, du talent et du dynamisme d’un Yvon GUILLOUX. Le troisième argument enfin, à l’harmonie qui existe entre cette exposition et le lieu qui l’accueille. La collégiale Notre-Dame de Grande Puissance est un haut lieu du patrimoine breton. Le défi qui consiste à allier patrimoine et arts plastiques a particulièrement intéressé le Ministre.

3-       Qu’attendez-vous de cette visite ?

J’attends d’abord que la visite du Ministre soit l’occasion de reconnaître les qualités de cette manifestation exceptionnelle qu’est Regard sur les arts. Qu’elle soit l’occasion de reconnaître le travail de ses organisateurs, mais qu’elle soit aussi l’occasion de faire connaître les qualités artistiques et architecturales de Lamballe , de son haras, de ses musées et notamment de l’œuvre de Mathurin Méheust, et de ses églises, notamment l’Eglise Saint Martin pour la restauration de laquelle le Ministre continue à mouiller sa chemise, il a déjà accordé 152 000 €.