L’annonce de la fermeture des zones commerciales d’une superficie supérieure à 20 000m2 a provoqué un émoi légitime chez les commerçants : “les premières victimes de cette mesure sont les commerçants et artisans dont les boutiques sont situées dans une galerie commerciale de ces zones” déplore le Vice-président de l’Assemblée nationale.
“L’imprécision de l’allocution du Premier ministre a suscité un moment de flottement chez ces commerçants. Personne ne savait quels espaces étaient intégrés dans les 20 000m2. Fallait-il ou pas prendre en compte les réserves commerciales des zones concernées ? Finalement, ces réserves sont comptabilisées et un grand nombre de fermetures de boutiques sont enregistrées dans notre région” souligne le parlementaire.
“Intégrer les bureaux et les réserves dans le calcul de la surface concernée est incohérent. Les clients n’ont pas vocation à déambuler dans les entrepôts ou à se rendre dans les services administratifs” note-t-il avant de conclure en appelant le gouvernement à revoir sa copie : “que l’exécutif fasse preuve de pragmatisme et de bon sens, seule la surface commerciale doit être prise en considération afin qu’un maximum de petites boutiques puissent rester ouvertes”.
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