Dans un courrier adressé au Préfet des Côtes-d’Armor, Marc LE FUR se fait le porte parole des professionnels de l’agriculture confrontés à “l’augmentation de la prolifération du choucas des tours”. Ce courrier fait suite à une première demande à la suite de laquelle le Préfet, en juillet dernier, avait augmenté les quotas de destruction dans les Côtes d’Armor de 4000 à 5500 choucas.
Déplorant “la multiplication des dommages causés aux cultures et récoltes” ainsi que les potentiels “problèmes sanitaires” auxquels les agriculteurs se trouvent exposés du fait de “l’incursion de ces corvidés au sein des élevages”, le Vice-président de l’Assemblée nationale demande au représentant de l’Etat de revoir à la hausse le quota de destruction des choucas afin que celui-ci soit porté à 12 000 comme dans le Finistère.
Considérant que “c’est la pérennité des exploitations agricoles qui est mise en danger”, le député des Côtes-d’Armor souhaite que “les agriculteurs costarmoricains obtiennent ce qui a été accordé à leurs voisins finistériens”.
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